La situation que nous vivons en CI est simple. La
France voulait y faire un coup d'etat qui n'a pas
marche, cela s'est transforme en Rebellion. La
rebellion s'etouffe et se meurt. La france decide de
prendre en mains les choses, et ca ne marche toujours
pas. Elle veut forcer, mais ca ne va toujours pas,
parce que dans la vie, meme si tu es le plus fort, il
y a des fois ou cela t'handicape, et la france qui ne
peut ouvertement aller tuer Gbagbo sans trouver une
raison valable patauge dans le bourbier ivoirien.
Elle veut reculer, mais les ivoiriens ne lui donnent
pas d'ouverture. Elle a deux choix, faire descendre
des commandos sur abidjan, tuer des milliers
d'ivoiriens et y imposer son gouvernement ou quitter
la CI.
Ces deux solutions sont toutes aussi brulantes l'une
comme l'autre. Ce serait plus facile de descendre sur
ABidjan et tuer Gbagbo, mais en retour, que gagne la
France? Le peuple se souleverait encore et ce serait
une guerre rangee entre les ivoiriens et la France. La
france tuerait des milliers d'ivoiriens, mais a la
fin, elle ne pourrait pas tenir la pression de son
massacre.
L'autre solution et la plus juste et pourrait lui
profiter si vraiment les ivoiriens sont des bebes
comme le pensent les francais. Ce serait de quitter
avec tout son arsenal militaire et laisser la pays se
gerer, et croiser les doigts en esperant que les
ivoirens seraient si incomptents qu'ils crieraient a
l'aide alors la France salvatrice pourrait revenir les
sauver.
La france n'a pas le choix.
S'il y a un leadeur ivoirien a meme de demander le
depart de la France c'est Gbagbo, et il le fera, mais
pas maintenant. Sil ne le fait pas, nous autres le
ferons dans 5 ans lorsque nous serons aux commades.
Tout est il que la France devra nous soulager de ses
troupes, et ses bases militaires. Puisque nous n'avons
aucune haine contre le francais, nous demandons a
chaque francais de venir en CI. Ceux qui y viendront
pour faire de la politique peuvent rentrer chez eux.
John
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Le site qui analyse les causes et implications de la crise ivoirienne.
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