Pendant que le Collectif des filles et fils d'Africains déportés (Coffad) a
interjeté appel contre la décision du tribunal de grande instance de Lyon,
statuant en matière de référé, relative à la vente aux enchères des archives
sur la traite négrière et l'esclavage, le 18 mars 2005 à dix heures se
déroulera à Paris une autre vente. Curieusement, l'État français ne réagit
pas alors qu'il a la possibilité de classer les documents concernés comme
monuments ou archives historiques.
C'est pour essayer de comprendre l'attitude à la fois de l'État français et
de la justice que le Magazine Partenaire Économique International a
rencontré maître Philippe Missamou, avocat à la cour.
La suite de l'article peut être lue à l'adresse ci-dessous :
http://www.agipresse.com/partenaireeconomique/debatopinion200500316.htm
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