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Re: AFP: Genocide du rwanda:Le rôle des militaires français dans le géno

To: John Tra <jtra00@yahoo.com>
Subject: Re: AFP: Genocide du rwanda:Le rôle des militaires français dans le génocide rwandais en 1994,
From: "Noel N." <noelng@free.fr>
Date: Fri, 4 Feb 2005 06:20:40 +0100
Cc: afrique@listes.univ-lyon1.fr
Delivered-to: afrique@dns2.univ-lyon1.fr
In-reply-to: <20050204015039.76215.qmail@web30308.mail.mud.yahoo.com>
References: <20050204015039.76215.qmail@web30308.mail.mud.yahoo.com>
User-agent: Internet Messaging Program (IMP) 3.2.5

Le feuilleton de la tragédie ivoirienne continue. A Abidjan, capitale économique
de la République de Côte-d?Ivoire règne un homme à l?état sauvage. Ce pays est
situé sous les tropiques et on y chauffe les esprits avec des discours de la
haine. La descente aux enfers a commencé à l?arrivée au pouvoir de Gbagbo en
cette journée du 26 octobre 2000 remplie de mauvais souvenirs. Cet instant
reste gravé comme une marque « noire » dans la conscience du monde entier et
dans celle des Ivoiriens eux-mêmes.

En effet, la bête politique ivoirienne et africaine, avait sabré sa victoire
dans le sang avec le charnier de Yopougon, le tout premier de la Côte-d?Ivoire
qu?on attribue volontiers au fameux Capitaine Séka Séka. Dans ce charnier plus
de 57 corps avait été découverts. Il a été fait mention de cette tragédie dans
plusieurs rapports des Nations-Unies. Ces mêmes rapports affirment que Séka
Séka est un des chefs des fameux escadrons de la mort dénoncent également le
couple présidentiel.

Gbagbo se déclara président alors que seulement 30% des votes avait été
dépouillés. Nous étions en octobre 2000 et l?homme était confronté à l?époque
au général Guéi Robert.

Il avait annoncé l?apocalypse avant son arrivée au pouvoir. Milles morts par-ci,
milles par-là moi j?avance avait-il dit. La nuit tombée dans des quartiers
d?Abidjan des escadrons de la mort éliminent des pères de familles, des hommes
et femmes de partis politiques tel le PDCI ou le RDR ou l?UDPCI. A Abidjan on
chasse et tue des journalistes tel les journalistes Jean Helene et Guy Andre
Kieffer. L?homme est un cauchemar dans l?esprit de la majorité des Ivoiriens et
des Africains. Les populations qui sont sous contrôle sont ses otages. Il les
terrorise lorsqu?il veut se faire plaisir. La majorité silencieuse des
Ivoiriens le décrit comme un dictateur. C?est la Terreur en Côte-d?Ivoire. On
tue en silence. On tue de jour comme de nuit. C?est de l?ordre du normal.



D?autres encore le considèrent comme un Führer tel le président Chirac qui
dénonçait les dérives d?un état fasciste le dimanche Novembre février 2004.
L?Union Africaine qui s?est réunie dimanche à Lagos a pour une fois parlé d?une
seule voix. Elle a soutenu la proposition française qui permettrait aux Nations
Unies de poser un embargo sur l?importation des armes.

Ce qui a été déplorable, était de constater que l?Union Africaine de Alpha Oumar
Konare a longtemps hésité à demander le départ de cet homme qui est devenu
infréquentable depuis des années car il a perdu tout sens du jugement? Il est
simplement devenu fou. Des politiques africains ont pour une fois parlé d?une
voix. Trop c?est trop. « Gbagbo vous vous êtes trop moqué de nous » ont-ils
martelé à l?envoyé de Laurent Gbagbo, M. Mamadou Koulibaly.
Nous saluons les pays engagés dans le bourbier ivoirien. Le Sénégal, le Bénin,
le Maroc ont envoyé des troupes en Côte-d?Ivoire. Il était temps car le monde
entier sait qu?il est responsable du viol de femmes ivoiriennes, africaines et
très récemment de Françaises.
Ce que le monde entier doit savoir, c?est que Gbagbo a décide d?emmener avec lui
des milliers d?Ivoiriens dans la tombe au lieu d?accepter les accords de
Marcoussis qui ne seront jamais appliqués.
Le 4, 5,6 novembre dernier, il ordonnait à ses avions Sukoi et autres
hélicoptères Mig 24 de pilonner les positions des rebelles dans le Nord à
Khorogo, à Bouaké au centre et à l?Ouest à Avoua. Il ordonna aussi de couper
l?eau et l?électricité. Cela entraîna la mort d?hommes et de femmes dans les
hôpitaux de ces villes. Les bombardements dans les zones sous contrôle rebelle
auraient fait plus 65 morts. Ces bombardements représentaient une violation du
cessez-le-feu. Lors de l?attaque de la ville de Bouaké, les avions Sukoi ont,
selon le Colonel Aussavy, délibérément bombardés la base militaire française.
Bilan : neuf soldats français de la paix furent tués. Depuis Paris, le
président Chirac donnait l?ordre de mettre hors d?état de nuire tous les avions
de guerre de l?armée de l?air ivoirienne. Par le biais de la Radio Mondiale
Française, le 14 novembre , les auditeurs du monde entier apprenaient que les
présidents ghanéens et togolais abriteraient des avions de guerre commandés par
Gbagbo. Depuis quelques jours, il a choisi l?option militaire pour la résolution
de la crise.

A Abidjan pendant ce temps Blé Goudé et son père spirituel, Laurent, se
réunissaient pour planifier le désordre d?Abidjan. Apres la réunion avec « papa
» le chef des patriotes a ensuite donné l?ordre à ses petits Führers communément
appelé « les Patriotes » de chasser du blanc. C?est ainsi que leur chef, le «
faux général » Blé Goudé demandait à ses troupes surchauffées, surexcitées,
droguées, armées de machettes, de gourdins, et d?armes à feu de mettre Abidjan
à feu et à sang. Ils s?attaquèrent au Lycée Mermoz, Blaise Pascal à Cocody pour
y mettre le feu. Ils défoncèrent des villas, des appartements, des magasins, des
maisons pour s?attaquer à des femmes, des hommes et à des enfants sans défense.
Ils violèrent des femmes françaises devant leurs enfants. Ils montèrent des
barrages de pneus, de pierres et de bra nches et arrêtèrent les véhicules des
Français et autres Européens « T'es français, t'es Chirac ». Violentés,
humiliés, traumatisés, battus à sang, des milliers de Français et autres
Européens qui vivent en Côte-d?Ivoire depuis quarante ans décidaient de rentrer
en France, en Grande-Bretagne, Belgique. C?est ainsi que le gouvernement
français organisait un rapatriement volontaire des Français et autres Européens
qui souhaitaient rentrer.

Le siège du parti politique d?Alassane Ouattara, opposant principal fut mis à
feu. Les domiciles des professeurs Henriette Diabaté, numéro deux du parti
d?Alassane, et Alphonse Djede Madi, le secrétaire du Parti Démocratique de
Côte-d?Ivoire furent pilles et mis à feu.

Ce n?est pas la première fois que ces jeunes patriotes qui sont dirigés depuis
le palais présidentiel s?adonnent à de telles exactions. Les 25, 26 et 27 mars
de cette année 2004, plus de 120 morts furent dénombrés dans les rangs de
l?opposition ivoirienne. Ces victimes étaient sorties à l?appel de leur partie
pour exprimer leur soutien aux accords de Marcoussis. Les fanci, milices et
autres patriotes tuèrent jeunes et vieux dans les rues d?Abidjan. Ce jour-là
Ble Goudé était constamment au téléphone pour informer Madame Bro Grebé, celle
la qui est considérée comme la marraine de ces jeunes. Elle avait déclaré, on
s?en souvient, qu?elle partageait les idéaux de ces jeunes qui terrorisent
Abidjan depuis des années.

En Côte-d?Ivoire, les patriotes, depuis la création de leur groupe, ont aidé un
régime contestable à garder le pouvoir pendant des périodes de troubles
politiques. Mais qui est patriote ? Quel est le discours de ces tueurs à la
solde du « presi », celui qui sème la terreur et la désolation à Abidjan et à
l?intérieur du pays ? Comment sont-ils financés ? D?où viennent leurs armes ?
Qui sont les tueurs volontaires du régime ?

Les patriotes
L organisation

Il y a plusieurs types de patriotes. Nous allons oser dire qu?il existe une
élite chez les patriotes ivoiriens. L?élite se compose de leaders estudiantains
issus de la FEECI ( Fédération des Etudiants et Elèves de Côte-d?Ivoire) dont
Ble Goudé lui-même, mais aussi de policiers, de cadres du FPI dont Affi
Nguessan, Madame Simone Gbagbo, Bro Guébé, de Mamadou Koulibaly.

Les "jeunesses hitlériennes" représentent un exemple parfait de la prise en
charge par un Etat de l?endoctrinement total, soumis et modelé à une idéologie,
le Nazime. En Côte-d?Ivoire, le président nationaliste Laurent Gbagbo a réussi
un "lavage de cerveau" éducatif pour posséder des instruments de prosélytisme
et de conquête de pouvoir avec l?idéologie de l?Ivoirite. Cette idéologie veut
classifier les Ivoiriens en purs et en impurs.

La jeunesse hitlérienne a été créée par Hitler et mise en place par Kurt Grüber
et Julius Streicher en 1936, car sous le IIIe Reich l?éducation sociale tenait
une place prépondérante.

En Côte-d?Ivoire, les patriotes ont été créés par le président de la république
et mis en activité par Charles Ble Goudé pendant l?année 2002. C?est la rue on
s?en souvient qui avait marché contre Guei».

Quels sont les objectifs assignés par Gbagbo aux Patriotes ?

Nous savons que Gbagbo prône des idées radicales et extrémistes, qui visent à
long terme à chasser de Côte-d?Ivoire des groupes ethniques jugés inférieurs.
Il avait mis en place différents moyens d'y parvenir. Gbagbo vise le
rapatriement de « ses » indésirables mais aussi la renaissance d?une race qu?il
aurait aimé pouvoir développer, une nouvelle race ivoirienne, celle définie par
l?Ivoirite. La volonté de renaissance d?une nouvelle race d?Ivoiriens est une
des causes de la création des patriotes. Cette vision est plus qu?utopiste car
à long terme elle aurait dû faire face à des problèmes de consanguinité assez
importants.
D?un point de vue plus militaire, ces jeunes patriotes ont un rôle plus pratique
car ils conditionnent déjà les jeunes Ivoiriens à aller à la guerre et leur en
donnent des bases pratiques . Le leader Charles Ble Goudé a ainsi pu recruter
des milliers de jeunes qui se sont inscrits dans les milices. On sait très bien
que des milliers d?entre eux ont suivi un entraînement, à l?intérieur du pays, à
Abidjan mais aussi à l?étranger.

Le patriote d?Abidjan
Le patriote est en général un être « panique », un jeune issu des classes
défavorisées. Il est séduit par le discours populiste et en veut aux Malinkés,
aux Sénoufos pour leurs réussites économiques. Ils voient en la France une
puissance colonisatrice qui ils doivent combattre.

Le patriote du web
Il a en général réussi socialement et se trouve à l?étranger. Il ou elle vit en
Suède ( a Goteborg ou Stockholm) , au Danemark( Copenague ou a Alborg) , En
Angleterre ( a Londres ou a Manchester) , aux Etats-Unis ( a Washington, au
Texas, a Atlanta ou en Californie) , en Israël ( a Jerusalem ou Tel Aviv) en
Italie a Rome, en France ( a Paris, Bordeaux, Nantes, Toulouse , Lyon) ou en
encore dans des pays africains. Par le biais d?Internet, il propage les
messages de la haine. Il est convaincu que Gbagbo est une victime de l?opposant
Alassane Ouattara et de la France. Sur le site http://www.abidjan.net, ils
écrivent des messages de haine qui malheureusement ne sont pas censurés par le
webmaster. Certains d?entre eux, on le sait, sont des parents proches du
président. D?autres sont simplement du même groupe ethnique que le président.
Ils écrivent en général sous les pseudonymes «

~Général aka, moda ou adama, Fan des Fanci, le maire, lapipa etc... Le discours
est violent et raciste.

Il existe une hiérarchie chez les patriotes. Ils sont financés par des personnes
comme San San Kouhao, qui, même s?il est difficile de démontrer sa participation
aux marches, est clairement un des soutiens les plus importants de ces jeunes
patriotes. Le président Gbagbo lui-même dans son discours du 9 novembre a
remercié ces jeunes patriotes. Ce n?est un secret pour personne que le couple
présidentiel entretient ces petits sauvageons. De fortes sommes en petites
coupures de 500 et de 1000 FCFA sont distribuées à ces soldats de la rue pour
terroriser. Cet argent viendrait des caisses de la filière café-cacao.

Nous avons répertorié plusieurs types de discours,

Le discours anti-nordiste : « Ce sont les Dioulas qui contrôlent le commerce, le
transport et les petits métiers de la boucherie. Nous ne pouvons pas accepter
cela. Il faut les chasser de nos villes et villages, ces immigrés et fils
d?immigrés qui contrôlent 95% de l?économie ivoirienne. Depuis Houphouët, ils
contrôlent tout et ils sont partout dans l?administration.

Partout en Côte-d?Ivoire, les Dioulas sont propriétaires de terrains et nous et
nos parents ne possédons rien... »

Le discours anti-africain se traduit lui par des attaques verbales et physiques
contre les ressortissants de la Cedeao : « Des Burkinabés, des Guinéens, des
Maliens sont propriétaires de plantations de cacao et nous les vrais Ivoiriens
sommes ici en train de galérer comme des pauvres. On va les vider des champs. »
Ce discours on le connaît à cause la mort de centaines de civils dans les villes
de Monokozoe, Gagnoa, Agboville, Daloa, Bangolo. Très souvent les responsables
du FPI ( Front Populaire Ivoirien ) ont provoqué des violences qui ont
malheureusement causé la mort de nombreuses personnes.

Le discours anti-français se caractérise lui par un discours populiste, raciste,
xénophobe appelant au nationalisme ivoirien à faire bloc contre l?impérialisme
français à l?aube d?un 21ème siècle qui devrait voir les Ivoiriens prendre leur
destin en main. Il s?agit de décoloniser l?économie ivoirienne qui, selon eux, a
été longtemps dominée par les entreprises françaises. Cet appel, on le sait,
s?est traduit par le viol, le tabassage, le vol, et les humiliations de
nombreux Français. Cette haine des Français est une pure construction et est
entretenue par le président de l?Assemblée Nationale, un certain Mamadou
Koulibaly et par le président Gbagbo lui-même. On a vu le chef des patriotes
Ble Goudé appuyé de ses lieutenants appeler à la violence à la télévision
ivoirienne dans les journées du 7 et 8 novembre. Cette image a fait le tour d u
monde. S?en suivait des déclarations du bouillant Mamadou Koulibaly qui
promettait défaite aux forces de la licorne. Ce sera pire que le Vietnam,
disait-il. D?autres personnalités telles Affi Nguessan, Laurent Dona Fologo,
Bro Grebe appelèrent aussi à la chasse aux blancs.

Il faut retenir dans ce discours la diabolisation du nordiste qui est diffusée
aussi bien dans les médias écrits comme la Voix, l?Echos, le Soir Info, qu?à la
télévision comme dans l?émission d?Anny Tchelly « on est ensemble ».

Dans le dernier compact disc de génération Y a Foi, le groupe présente comme
Madame Bro Grebe « la vielle mère » comprenez par-là un membre de cette
organisation de jeunes.

Dans ce discours, le nom du leader Alassane Ouattara fait surface. Alassane
Ouattara est souvent vu comme l?initiateur de la guerre au même titre que la
France.

D?ou viennent les armes des patriotes ?
Des sources concordantes affirment que les armes qui ont été utilisées ont été
fournies par des commissariats de certains communes d?Abidjan. D?autres sources
parlent de livraison d?armes venues du palais présidentiel. L?origine de ces
armes est multiple mais nous pouvons confirmer des livraisons venues d?Angola,
de Russie, de Bulgarie mais aussi d?Israël. C?est ainsi que dans certaines
marches on a pu remarquer la présence d?Uzi ( pistolets mitrailleurs de marque
israélienne) et de Kalachnikov russes achetés a l?armée angolaise.

Des véhicules pick-up et autres 4x4 ont été également fournis aux patriotes.

Portraits de tueurs volontaires

1) Ble Goudé

Jeune leader estudiantin. Des sources en notre possession confirment plusieurs
conversations téléphoniques entre lui et le palais présidentiel lors de
différentes manifestations à Abidjan. Il dîne à la table du couple Gbagbo.
Certaines sources affirment que le chef de l?état planifie avec le général Ble
Goudé les marches et les attaques des soi-disant patriotes. Son discours est
anti-français et populiste. Il recrute dans les quartiers pauvres d?Abidjan
pour les marches. L?homme est d?une violence jamais égalée dans le milieu
estudiantin ivoirien et africain. Lui et les patriotes ont commis des dizaines
de crimes sur les campus de Cocody et Yopougon. Ce jeune homme a aussi sur la
conscience le destin tragique de dizaines de jeunes étudiants devenus invalides
et traumatisé à jamais à la suite de bastonnades dans les cités universitaires.
Entre le 6 et le 9 novembre ces hommes on t violés des femmes européennes sans
défense. Ble Goudé est surnommé la machette. Combien d?hommes et de femmes
a-t-il éliminés ? Le rapport de L Onu qui va etre transmis a un procureur dans
les jours a venir le place en tete de liste d etre les plus grands criminels de
guerres en Cote D ivoire.

2) Mme Bro Grebe.

Nous pouvons la décrire comme une raciste très violente. Femme adepte du
discours néo-fasciste. Elle désire une Côte-d?Ivoire sans étrangers africains.
Pour elle, les Ivoiriens du Nord sont des fils d?immigrés et méritent une
expulsion vers le Mali, le Burkina Faso, le Sénégal. Elle est très proche du
couple Gbagbo. Ses sorties à l?étranger sont toujours controversées et ne font
pas honneur à la femme ivoirienne et africaine. Cette femme a appelé des jeunes
patriotes à s?attaquer aux Africains et aux Français. Ces propos racistes ont
causé des dizaines de conflits entre des groupes ethniques dans certaines
villes comme Daloa, Agboville, et Gagnoa.

3) M.Berthin Kadet

Il est originaire de Mama, village natal du chef. Il en serait le chef.

Cet ancien ministre de la défense voyage beaucoup, à Luanda, Conakry, Freetown,
Lome, Monrovia, Tel Aviv, Sofia ou encore Beijing pour acheter des armes,
recruter des mercenaires. Dans l?entourage de Ggabgbo, il est un personnage-clé
car il est considéré comme un « dur ». C?est lui qui avait été nommé Ministre de
la défense lorsque Lida Koussai avait été remercié par le président à la suite
de la défaite de l?Armée des loyalistes sur les fronts de Man, de Bouake et
Vavoua. Il serait l?un des cerveaux de l?entourage de Gbagbo et se
spécialiserait dans les missions de sale besogne. Depuis la tentative manquée
de coup d?état du 19 septembre, l?homme a su lier des relations dans
l?entourage du dictateur angolais Dos Santos. Il a aussi été en contact, selon
certaines sources, avec des anciens militaires du tristement célèbre 32éme b
ataillon de l?ancien régime de l?Arpartheid en Afrique du Sud. Les anciens de
ce régiment sont reputés pour être des barbares sanguinaires. Ils se sont
notamment illustrés dans les guerres d?Angola, du Mozambique, du Liberia, et du
Sierra Leone.



Mireille Duteil , ecrit dans le Point, du 18 Novembre 2004 sur Kadet Bertin,
conseiller de Gbagbo et son neveu. C est lui qui a eu acces a l armurerie et va
mettre sur place une une milice majoritement bété de 4000 a 5000 hommes sur
lesquels le chef d?état-major n?a aucune prise. Cette milice a différentes
reprises, a joué les escadrons de la mort contre les opposants ou les
ressortissants du nord du pays, que l?on viendra assassiner chez eux.

Des contacts précis entre d?une part l?armee régulière ivoirienne, les fanci et
des milices et d?autre part, la marine (Marinha de Guerra, MdG) et l?armée de
l?air angolaise (FANA) ont été conclus. Luanda et Abidjan collaborent pour
gagner la guerre contre les rebelles qui occupent 60% du territoire.

4)Mme Simone Gbagbo , epouse du chef de l etat.

On la décrit comme très religieuse ce qui n?est pas un mal en soi.

Mais elle est une des personnes qui s'est illustrée le plus par des propos
racistes et haineux envers les étrangers et l'opposant Alassane Dramane
Ouattara. Elle s'est distinguée en traitant l'ancien Premier Ministre de "fils
d'émigrés voltaïques", de "négro américain", et sa femme de "juive blanche".
Elle a nourri le mental des Ivoiriens avec "la violence et à la xénophobie".
Elle a récemment pris goût à visiter les Etats-Unis pour y placer des grosses
sommes d?argent selon le journal le Front. Cet argent proviendrait de la
filière Café-Cacao. On y organise de vraies fausses rencontres entre hommes
d?affaire du FPI (parti de Gbagbo) et des petits hommes d?affaire américains.
Dites-moi quel homme sérieux au monde investirait dans un pays en guerre..

5) Capitaine Seka Seka Anselme

Ce sinistre individu est mêlé au premier charnier de Côte d?Ivoire, à savoir
celui de Youpougon. Il est une des têtes pensantes des Escadrons de la mort. Il
est décrit comme un tueur froid à la solde du régime. Il dirige l?unité qui
protège l?épouse du chef de l?état. Il a été vu sur le terrain lors des tueries
du 25 et 26 mars. C?est notamment lui, avec l?aide d?autres militaires, qui a
créé des camps de tortures dans différentes forêts près d?Abidjan, notamment à
Azaguie, Aboisso, dans la forêt du Banco. Là, on y torture des opposants au
régime, des civils, des ressortissants de la Cedeao? Selon des sources a
Abidjan, il aurait des rapports sexuels avec Madame Gbagbo

6) Le pasteur Kore Moise

C?est un homme au service du dieu Gbagbo. C?est un être très arrogant qui est
devenu très riche en l?espace de trois ans. Il est décrit dans la presse comme
étant le Rapoustine ivoirien. Il est le pasteur personnel du couple
présidentiel. Il parcourt le monde entier, de l?Ukraine à Luanda en passant par
les Balkans, la Biélorussie, Paris et Londres pour acheter des armes pour
Laurent Koudou Gbagbo.

7) Pasteur Faustin Leka

Il est le président d? « Arc-en-ciel ». En 1999, il fonde une ONG appelée « Bons
frères » pour venir en aide aux Libanais de Côte-d?Ivoire. Il bénit les
réunions. Dans le clan, il est considéré comme un prophète. C?est lui qui fait
au chef de l?état des révélations sur la marche pacifique du 25 et 26 et 27
mars qui, pour lui, était un coup des rebelles. Le monde entier connaît la
suite. Les églises en Côte-d?Ivoire sont des Institutions qui disposent d?une
identité puissante et d?une influence considérable grâce à leur appareil
ecclésiastique et à leur réseau associatif. Elles ont contribué à faire la
propagande du chef. Le pasteur Leka est soupçonné, par beaucoup de ses
paroissiens, d?être corrompu.

8) Maitre Patrice Bailly

Ce maître de karaté et tortionnaire a pu recueillir les confessions de ses
victimes par des méthodes inhumaines. Il est considéré avec le capitaine Seka
Anselme et le président Ggagbo comme une des têtes pensantes des Escadrons de
la mort. Lui et les tortionnaires des Escadrons de la mort ont placé des
électrodes sur la langue, les parties génitales, les orteils, sur toutes les
excroissances corporelles sensibles de leurs victimes. A cela j?ajoute des
pendaisons, l?immersion dans l?eau salée, des viols, des séances de karaté sur
la colonne vertébrale. La torture, les traitements inhumains exigent
l?animalisation préalable des victimes, il faut en faire des pures choses de
pouvoir.

9) Thierry Legre

Il a joué un rôle clé dans la disparition du journaliste franco-canadien
Kieffer. Ce personnage s?appelle dans les milieux proches de Gbagbo, le
nettoyeur. En Côte-d?Ivoire il est mêlé à l?enlèvement de plusieurs dizaines
d?Ivoiriens.

10) Dago Jean Cyrille Théodore, alias Séry Dago, le tueur de Jean Helene.

C?est dans ce climat raciste que, le mardi 21 octobre 2003, vers 17 heures, un
policier ivoirien, Dago Jean Cyrille Théodore, alia Séry Dago, braque une
première fois son AK 47 sur la poitrine de Jean Hélène, alors que celui cherche
à entrer dans le bâtiment de la DST ivoirienne pour y interviewer des opposants
ivoiriens qui doivent être relâchés.

Devant le refus clairement exprimé du policier, le journaliste de R.F.I décide
d?aller attendre dans sa voiture, une Clio rouge, à une cinquantaine de mètres
de l?entrée. Tandis qu?il est occupé à passer quelques coups de téléphones,
Séry Dago confie à d?autres policiers que la présence de ce Blanc lui déplait.
Il s?approche à nouveau de lui, très énervé et lui dit de « dégager » du
trottoir. Jean Hélène ne se laisse pas intimider par le policier et lui dit de
le laisser faire son travail. Furieux, le policier rentre dans le bâtiment et
monte voir son supérieur pour lui signaler qu?un « Blanc » se trouve près de
l?entrée. Le gradé lui répond qu?il s?agit d?un journaliste et qu?il faut le
laisser travailler. Dago ne l?entend pas de cette oreille et redescend pour lui
dire de s?en aller . Jean H élène est sorti de sa voiture, Le policier le
menace, cette fois ci ouvertement, mais le journaliste l'envoit paître. Une
bagarre s'ensuit pendant laquelle Dago donne plusieurs coups au bas ventre du
journaliste avant de lui tirer une balle dans la tempe gauche avec son AK 47.

Il retourne alors tranquillement vers le bâtiment de la DST où il croise le
directeur général à qui il lance qu'il a eu une prise de bec avec le Blanc...
et qu'il l'a descendu...

11. Colonel Mangou

Inspire des films de l acteur Silvester Stallone et surtout du film Rambo 3 il
voulait lance une offensive sur le bastion des rebelles. C est a Yamoussokro qu
il avait masse ces troupes d attaques terrestes.Cet attaque fut un echec. Il est
tres consteste au sein d une armee divise et mal entraine. Comme le Capitaine
Seka Seka, c est tueur froid.

Il est l homme de confiance du president Gbagbo.

12) Honoré Ngbanda Nzambo ko Atumba ou le « Le terminator »

L?homme est âgé de 58 ans et originaire de la République Démocratique du Congo
de Kabila. Selon nos sources, très bien introduites au Congo, l?homme vit entre
Abidjan, Paris et Johannesburg.

Il est le dernier conseiller spécial du maréchal Mobutu en matière de sécurité.

Honoré Ngbanda Nzambo Ko Atumba, a servi comme ancien Ministre de la Défense
dans le gouvernement Nguz a Karl-I-Bond. Il a récemment pris l'initiative de
rassembler les officiers ex-Faz (Forces Armées Zaïroise) en exil en Europe et
les soldats installés à Brazzaville. Il a réussi à obtenir leur intégration au
sein de la nouvelle armée nationale, en cours de restructuration et
d'intégration. Il offre ses services au gouvernement de Laurent Gbagbo dans le
cadre du recrutement d?hommes et de l?achat d?armes. Il a organisé la toute
première rencontre des officiers et sous-officiers des ex-Faz, le 3 juillet
2004 à Bruxelles, Honoré Ngbanda avait sa petite idée : " constituer une armée
congolaise réellement forte, crédible et dissuasive. A Kinshasa, l?homme est
perçu comme un renard et une brute. On l?appelle là-bas « Terminator ».

13) Les Israéliens

Selon les services secrets français plus de 46 Israéliens sont au service du
dictateur d?Abidjan. Ils sont des spécialistes de l?écoute. Ils ont installé
leur quartier général depuis plusieurs mois au 21ème étage de l? hôtel Ivoire
pour aider le régime d Abidjan. Ces anciens soldats de Zhahal ont appuyé
l?armée régulière dans le bouclage de la ville d?Abidjan lors des
manifestations du 25, 26 et 27 mars 2004.

14) Les escadrons de la mort

A la tombée de la nuit, Abidjan devient dangereuse, la peur y règne. Les
escadrons de la mort deviennent les seigneurs de la rue. Le journaliste Idriss
Dembele du Libéral écrit :

« Les responsables, les exécutants et un groupe de civils qui jouent une
fonction d'éclaireurs et de délateurs. Le premier groupe comprend les
lieutenants-colonels Dogbo Blé Bruno (Garde républicaine), Lagoto Dassé Toualy
(Commissariat des armées), Grah (GSPM), Detoh Léto, (commandant du bataillon
commando parachutiste), Ahouman Nathanaël du groupe de sécurité présidentielle,
des capitaines Séka Séka, Abéhi et Zadi. Les exécutants restent les
adjudants-chefs Koukouon Messou, Zan Bi Kouakou et le groupe dirigé par Me
Bailly Patrice. Ces deux entités bénéficient du soutien de quelques courtisans
notoirement connus pour leurs ardeurs nationalistes et extrémistes. Ce sont
Georges Aboké, Pol Dokui et Jean-Paul Dahily. Ce dernier a joué un rôle
important dans ce qu'il a convenu d'appeler "Le complot des badjans".

15.Tiehi Joel, Toure Zhegen, Konate Navigue, James Cenaque

Ces individus ont par leurs actes, ecrits et discours ont entraine la mort de
dizaines de civils ivoiriens ces derniers annnees en Cote D Ivoire.

Qui sont t ils.

Tiehi Joel, ancien footballeur au stade d abidjan .

Guede Pepe , il ecrit sous le pseudonyme , James Cenaque. Il se considere comme
intello au sein des sauvageons et autres nazillons au sein du fpi.

Toure Zhegen, est simplement avec son lieutenant Konate des terroristes de la
rue.

Ils ont meles de pres dans des enlevements, torturs, appel au racisme, a la
chasse aux blancs, et autres viols.

Conclusion :
Les récents bombardements de Gbagbo ont créé de nouveaux réfugiés dans les pays
voisins de la Côte-d?Ivoire notamment au Liberia et en Guinée. Ils ont aussi
fait de nouveaux orphelins et d?autres traumatisés à Bouake, Danane, Man,
Khorogo. Dans les journées folles du 6, 7, 8 9, novembre il y a eu chasse à
l?homme à Abidjan. D?autres ont reçu des balles tirées par l?armée française.
La presse écrite proche de l?opposition a subi la rage des patriotes. Les
bureaux des journaux du Patriote, du Nouveau Réveil, du Libéral, de 24 heures
ont été incendiés. Les journalites de ces quotidiens se cachent ne sont pas en
securite pour faire leur travail. Les sièges des partis d?opposition : RDR et
PDCI sont partis en feu. Certains de leurs leaders se cachent. On ne parle plus
d?économie, de politiques économiques, de cult ure, de littérature, de nouvelles
technologies, d?agriculture, d?emplois, de projets depuis octobre 2000 en Côte
d?Ivoire. Par contre, on parle beaucoup de la mort. La mort, il faut le dire,
est devenue le compagnon proche de beaucoup d?Ivoiriens. Le peuple de
Côte-d?Ivoire a payé un lourd tribu dans cette sale guerre. Gbagbo, le
président ivoirien entouré d?une minorité agissante à sa solde a décidé de
reprendre la guerre coûte que coûte. L?homme ne se soucie guère des souffrances
des Ivoiriens.

Comment le faire partir ?

Cette question est souvent revenue dans les conversations que j?ai eues ces
derniers temps avec des amis. Lors d?une d?elles, deux de mes amis, un de la
région Man, et un autre d?Abidjan me posaient cette question « Comment on va le
faire partir ? ». Je répondis aux deux que j?aurais bien voulu le savoir
moi-même. Je ne savais pas. Nous continuâmes la discussion toujours assis dans
un café. Mon ami pensait que seule la manière forte permettrait une solution à
la crise. Je lui demandais d?approfondir sa pensée. Il préconisait qu?après le
15 décembre les Nations Unies devraient aider la nation ivoirienne en capturant
le président Gbagbo comme elles l?avaient fait avec Milosevic Slobodan en
Yougoslavie. Mon ami croyait pertinemment que Gbagbo n?était pas un fou mais un
dictateur faible. Il pensait aussi que seule la manière forte permettrait
l?émergen ce d?une nouvelle classe politique ivoirienne qui apporterait des
remèdes au maux ivoiriens connus du monde entier : l?Ivoirite, la corruption,
l?impunité, les escadrons de la mort?

Nous sommes toujours sous les tropiques. Là règne un homme qui a rejoint le club
des grands dictateurs africains, des Idi Amin, Bokassa, Charles Taylor, Moussa
Traore, et autre Mobutu.. Ces dictateurs ont régné dans le sang et dans la
mort, ils ont été les bourreaux de leurs peuples souvent avec la complicité ou
grâce à la passivité de la communauté internationale. Le peuple ivoirien
n?intéresse pas Gbagbo. Il ne l?a jamais intéressé. Ce peuple si généreux,
multiethnique, si divers, si fort est son otage? mais pour combien de temps. Il
agonise pendant que l'Union Africaine d?Alpha Konara, La France de Chirac, les
Nations Unies de Kofi Annan, l?Afrique du Sud de Mbeki, le Sénégal de Wade et
le Nigeria d?Obansanjo cherchent une issue. Les tueurs volontaires quant à eux
attendent de leur chef leur prochain ordre pour rentrer en action. Ils sont
ivoiriens, angolais, zaïrois, biél orusses, français, israéliens,
sud-africains, et sont payés pour cela. C?est leur job de tuer, d?éliminer tous
ceux qui ne pensent pas Front Populaire Ivoirien ou s?opposent au despote.

Malgré que le pays a pris la route de la désolation, de la dislocation, de la
division, nous osons croire à une nouvelle Côte-d?Ivoire. Elle doit renaître.
Nous sommes et restons confiants qu?une nouvelle équipe de femmes, d?hommes
venus de toutes les régions de la Côte-d?Ivoire rebâtira cette nation. Nous ne
sommes pas naïf au point de croire que cette tâche sera facile. Mais il faut y
croire. Gbagbo et ses tueurs volontaires ne doivent pas gagner, nous devrons
être les vrais vainqueurs de cette guerre. Car, il y va de notre avenir, de
l?avenir de tous nos enfants et de l?avenir de la Côte-d?Ivoire. Gbagbo et ses
patriotes ne sont pas la Côte-d?Ivoire et il le sait. Nous croyons très
profondément que Gbagbo partira pour que la paix revienne.
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Anonyme



Selon John Tra <jtra00@yahoo.com>:

> PARIS (AFP) - jeudi 03 février 2005 - 12h03 - Le rôle
> des militaires français dans le génocide rwandais en
> 1994, dénoncé par la commission d'enquête citoyenne
> (CEC), va faire l'objet de plaintes contre X devant le
> tribunal aux armées de Paris déposées par deux avocats
> parisiens pour une dizaine de victimes présumées.
>
> "L'opération Turquoise a permis d'exterminer les
> Tutsis restants", a déclaré jeudi au cours d'une
> conférence de presse à Paris Annie Faure, membre de la
> CEC, et médecin présent au Rwanda en lors du génocide
> en 1994.
>
> Dans l'opération Turquoise, l'armée française sous
> mandat de l'ONU avait été chargée de former une zone
> tampon humanitaire dans le sud-ouest du pays avec
> 2.500 hommes.
>
> Aux côtés de Mme Faure, Mes William Bourdon et Antoine
> Comte du barreau de Paris, ont annoncé le dépôt sous
> une dizaine de jours, de plaintes mettant en cause
> pour "complicité de génocide" les militaires français.
>
> Ces plaintes avec constitution de partie civile contre
> X "mettront en relief les agissements présumés de
> militaires français de façon individuelle" au cours du
> génocide, a déclaré Me William Bourdon.
>
> Les plaintes déposées par une dizaine de
> ressortissants rwandais, vont viser selon Me Bourdon
> "les actes positifs d'encouragement au génocide et les
> actes de participation active, c'est-à-dire la mise à
> disposition de moyens en connaissance de cause"
> (livraison de matériel, soutien logistique,
> encadrement, etc...).
>
> Elles seront déposées devant le juge d'instruction du
> tribunal aux armées, habilité à juger les militaires
> français pour des faits commis à l'étranger, a indiqué
> Me Comte.
>
> "Il s'agit d'établir la vérité et d'identifier les
> responsables", ont conclu les deux avocats parisiens.
>
> Parallèlement, la CEC a présenté au cours de la même
> conférence de presse son rapport "sur le rôle de la
> France durant le génocide des Tutsis au Rwanda".
>
> Ce rapport de près de 600 pages est une
> retranscription des travaux de cette commission, qui
> avait tenu une session plénière de cinq jours en mars
> 2004. La CEC soutient que la France et ses militaires
> présents au Rwanda pendant le génocide ont été
> "complices" des massacres.
>
> La CEC a également présenté "Imprescriptible",
> l'ouvrage de Géraud de la Pradelle, le président de
> cette commission, qui présente sous un aspect
> juridique les faits réunis dans le rapport.
>
> M. de la Pradelle souligne que le crime de génocide
> est imprescriptible et que les responsabilité
> éventuellement imputables sont "individuelles et
> visent des militaires et non la France comme Etat".
>
> Le 15 décembre 1998, une mission d'enquête
> parlementaire avait exonéré la France "nullement
> impliquée dans le génocide", mais avait retenu une
> certaine responsabilité due à "une erreur globale de
> stratégie" et à des "dysfonctionnements
> institutionnels".
>
> Haut de la page Sommaire Dépêche suivante
>
> © 2005 AFP. Tous droits de reproduction et de
> représentation
>
>
> Nous avons toujours su que la France avait contribue
> dans le genocide au rwanda, et elle pose les memes
> bases en CI. Et Kofi Annan etait aussi au Rwanda avec
> l'ONU faisant voter des lois farfelues au conseil de
> securite comme ils le font en CI.
> Lorsque tu as la France, L'ONU et une certaine
> division dans un pays, la resultante est le chaos. En
> CI, la france pietine la souverrainete de la CI, et
> les ivoiriens se sentent si humilies qu'ils s'en
> foutent. Comme on le dit en CI "Le cabri mort, n'a
> plus peur du couteau".
> Si les armes et les votes a l'ONU garantissaient  une
> victoire absolue, les americains seraient entrain de
> celebrer en Iraq, mais il est connu que la force n'est
> pas toujours la ou ou le pense. Et un peuple qui n'a
> plus rien a perdre est capable de bcp. Il faut se
> garder que pousser l'etre a liberer le mal en lui.
> Chirac prend les ivoiriens pour de grands enfants,
> erreur de gawa!
>
> =====
> "A Black Belt is a White Belt who never quit"
> Aikido.
>


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