Euh! C'est quoi le titre ce film déjà ?????
Selon John Tra <jtra00@yahoo.com>:
> Projet de déstabilisation du régime Gbagbo
>
> Se démarquant des accords de paix de Pretoria,
> l'opposition civile et armée au Président Laurent
> Gbagbo prépare activement une opération de
> renversement des institutions républicaines. Ce
> projet, capté par les grandes oreilles de la
> République, apparaît comme un raccourci violent pour
> atteindre l'objectif à eux fixé en septembre 2002 par
> les rebelles, à savoir balayer Gbagbo. Nous vous le
> proposons, pour prévenir.
>
>
> Les nouvelles en provenance des services secrets ne
> sont pas bonnes. Elles font état d'une opération de
> déstabilisation du régime, en préparation. Selon nos
> informations, cette opération qui a été conçue par les
> troupes françaises basées en Côte d'Ivoire sera
> exécutée par les rebelles, la jeunesse du G7 et la
> Licorne. La cheville ouvrière de ce vaste complot est
> un officier supérieur des Fanci, - dont nous taisons
> volontairement l'identité -, très en vue actuellement
> au sein du Programme national de désarmement,
> démobilisation et réinsertion (PNDDR). Les
> spécialistes qualifient le projet ''d'opération
> éclair'', à l?image de la morsure du serpent mamba
> vert dont le venin, très mortel, tue en un temps
> record. D'où le nom de code ''opération Mamba vert''.
> Pour cette énième tentative qu'ils veulent
> victorieuse, les rebelles ivoiriens et leurs
> commanditaires se sont donnés de grands moyens.
> Pour l'opération ''Mamba vert'', ce sont 375 rebelles
> qui ont pris le soin, grâce à des complicités,
> d'infiltrer, depuis environ deux semaines, la ville
> d'Abidjan. Le gros de la troupe est fourni par la
> brigade ''Anaconda'' dirigée par le soldat déserteur
> des Fanci, Issiaka Ouattara dit Wattao. A leurs côtés,
> se trouvent 4 mercenaires dont un se nomme Rudolph
> Donald, 2 officiers de l'armée burkinabé, des
> commandos parachutistes de cette même armée et 37
> éléments de l'armée régulière du Mali. Pour revenir au
> mercenaire Rudolph Donald, notons que c'est un
> Français d'origine allemande, tireur d'élite réputé,
> doublé d'un kamikaze de renom. Son recrutement a été
> l'affaire personnelle du ministre de la Sécurité du
> Burkina Faso, M. Djibril Bassolé. L'équipe des
> déstabilisateurs a d'abord transité par le Mali où la
> résidence de l'ancien chef d'Etat Alpha Omar Konaré
> leur a servi de logis, avant de prendre pied au
> Burkina Faso. Durant leur séjour au pays des hommes
> intègres, ces mercenaires, entre deux séances
> d'entraînement, ont régulièrement rencontré le
> Président Blaise Compaoré himself, et reçu la visite
> de Guillaume Soro, Chérif Ousmane et Wattao. De
> Ouagadougou, Rudolph Donald et ses compagnons sont
> rentrés à Abidjan où ils ont logé pendant quatre jours
> dans la résidence d'un reggae-maker ivoirien
> aujourd'hui à l'extérieur. Quant aux armes qui
> serviront à l'attaque, elles ont été convoyées dans
> des conteneurs de l'armée française au 43è Bima et
> seront disponibles au moment opportun. Une période que
> les acteurs de l'opération ''Mamba vert'' situent
> autour du 10 juillet 2005. Une fois dans la cité
> abidjanaise, les rebelles et leurs mercenaires ont été
> répartis en trois groupes. Le premier à Anyama, le
> second à Abidjan et le troisième à Dabou et Sikensi.
> Le premier groupe est aux frais du maire Rdr d'Abobo,
> M. Adama Tounkara, pendant que ceux de Dabou sont
> entretenus par dame Kouassi, connue pour être la
> maîtresse de l'officier supérieur des Fanci dont nous
> faisions cas précédemment, et qui réside derrière la
> maison de la justice locale. S'agissant du groupe
> d'Abidjan, ces derniers sont sous la responsabilité de
> Karamoko Yayoro, le tout nouveau président de la
> jeunesse du Rdr. Précisons que l'infiltration des
> tueurs de Guillaume Soro à Abidjan a été facilitée par
> le chef du service d'exploitation de la société UTB.
> Ce dernier, révèle-t-on, a été contacté par un haut
> fonctionnaire de la Primature et le ministre Anaky
> Kobenan. Dans l'optique de l'assaut du début juillet,
> plusieurs réunions ont récemment eu lieu à Dabou avec
> entre autres participants, Karamoko Yayoro, Blé
> Guirao, Odjé Tiacoré, des représentants d'Alain
> Donwahi et Dacoury Tabley et certains militaires des
> Fanci qui ont rallié la cause des putschistes. A
> l'issue de la dernière ''séance de travail'', il a été
> décidé de contacter deux sociétés de gardiennage et de
> sécurité, quatre maisons privées de pompes funèbres et
> trois camions de ramassage d'ordures. Tout ce beau
> monde sera mis à contribution pour, le ''jour J'',
> assurer le transport des armes à partir du 43ème Bima
> vers Anyama, Dabou et Williamsville. Des véhicules de
> la mairie d'Abobo et le camion chargé de transporter
> les pensionnaires de la Maca seront également
> sollicités. Prompts à délier la bourse, les
> commanditaires de l'opération, assure-t-on, ont déjà
> ''convaincu'' six membres de la garde rapprochée du
> chef de l'Etat et deux agents de l'escorte moto, pour
> la mise en route de leur affaire.
> Pour passer à l'attaque, les déstabilisateurs ont déjà
> construit leur scénario. C'est qu'à la veille du
> mouvement des hommes de Soro, un policier de l'Unité
> de régulation de la circulation (URC), dans le coup,
> abattra un conducteur de mini-car (communément appelé
> ''gbaka''), son apprenti et un passager à Abobo-gare.
> Au même moment à Yopougon, un gendarme abattra un
> conducteur de taxi communal (wôrô-wôrô). Ces éléments
> des FDS ont été contactés et n'attendent que le moment
> indiqué pour entrer en action. A la suite de ces
> crimes, les militants du Rdr et la jeunesse du G7,
> longtemps préparés à l'avance, vont réagir violemment
> en occupant la rue pour faire croire que c'est la
> population qui se révolte. Les ressortissants
> étrangers seront attaqués ainsi que des commissariats
> et des magasins. Les forces de défense et de sécurité
> et l'Onuci interviendront alors pour maintenir l'ordre
> public. C'est ce moment précis que choisiront les
> putschistes pour entrer en action, en ouvrant le feu
> sur les soldats onusiens. Ils feront pareil du côté de
> Port-Bouët où, déjà prépositionnés, ils tueront
> également des soldats français avant d'attaquer le
> 43ème Bima. Radio France internationale (Rfi)
> accompagnera le mouvement en entretenant la confusion,
> faisant croire que ce sont les Fanci et les patriotes
> qui s'attaquent à l'Onuci et aux Français. Notons que
> les manifestants de rue ce jour-là, en réalité des
> miliciens dirigés par Karamoko Yayoro et Blé Guirao,
> arboreront des tee-shirts à l'effigie des principaux
> mouvements patriotiques. Informé de la mort des
> soldats de l'Onuci et de la Licorne, le Président
> Laurent Gbagbo se rendra alors auprès des autorités
> militaires de ces deux forces. Les mercenaires
> embusqués dans la foule, avec la complicité des
> éléments corrompus de la garde rapprochée, cribleront
> alors le chef de l'Etat de balles. Pendant ce temps,
> les soldats français, qui vont s'abstenir de tirer sur
> la foule, boucleront la ville d'Abidjan en bloquant
> les deux ponts, empêchant ainsi l'arrivée des
> patriotes de Yopougon, Adjamé et Abobo. Dès cet
> instant, le commando commis à l'assassinat des
> personnalités du régime entrera en action. Ce sont
> notamment, comme cibles, Mamadou Koulibaly, Blé Goudé,
> Bertin Kadet, Lida Kouassi, le Gl Touvoly Bi Zogbo, le
> colonel-major Philippe Mangou, Bro Grébé, Nyamien
> Messou, Affi N'Guessan, Bohoun Bouabré, Williams
> Attébi, les ministres Fpi, Konaté Navigué, Damana
> Picass, Hanny Tchelley, Eugène Djué, Idriss Ouattara
> et Paul Dokui (à la demande de Mabri Toikeusse et Blé
> Guirao). Pour brouiller les pistes, l'escadron de la
> mort tuera également KKB du Pdci et le prof Hyacinthe
> Sarassoro du Rdr. Quant à Simone Gbagbo, elle sera
> capturée et présentée à la télévision, à côté du corps
> de Blé Goudé, demandant aux Ivoiriens de baisser les
> bras, le pouvoir étant désormais aux mains des
> rebelles. Ce travail achevé, Konaté Sidiki et Soro
> Guillaume annonceront successivement la fin du régime
> Gbagbo. S'ouvrira presque aussitôt une véritable
> chasse à l'homme à travers le pays, notamment à
> Abidjan, Gagnoa et Duékoué où les partisans de Laurent
> seront traqués. Alassane Dramane Ouattara, qui entre
> temps sera au Burkina Faso, rentrera peu après
> l'opération, tranquillement, en Côte d'Ivoire, escorté
> par les soldats français, une fois la ville d'Abidjan
> nettoyée, pour la prise de pouvoir. L'opération
> ''Mamba vert'' répond à deux objectifs, à savoir
> accéder au pouvoir par les armes et créer une psychose
> pour règner d'une main de fer sur la Côte d'Ivoire. Il
> faut savoir que les hommes de ''Bogota'' envisagent
> d'assassiner Paul Dokui et toute sa famille comme le
> Gal Robert Guéi, pendant que le corps de Blé Goudé
> devra être promené dans tous les quartiers d'Abidjan
> tel un trophée. Quant à Thierry Légré, il subira la
> ''rançon des traites'' et Ahoua Stallone, égorgé à la
> demande, dit-on, d'Ado. En prévision du triomphe des
> rebelles, nos sources indiquent que Tiken Jah vient de
> boucler un single au studio Davout, en France, qui
> sera diffusé dès leur prise de pouvoir. Le clip de
> cette chanson a été réalisé dans un stade du Mali, en
> présence des chefs rebelles Chérif Ousmane et Wattao.
> Quand on a vu ce qui s'est passé récemment chez
> N'Gouan Mathias et à Duékoué, il y a lieu de prendre
> ces informations très au sérieux. Surtout que tous les
> rapports des renseignements généraux annoncent les
> mois de juillet et août comme la période de tous les
> dangers. Les Ivoiriens et les autorités sont prévenus.
>
> Par Yves De Séry
>
>
> "Everything is possible to those who believe Marc 10:31".
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